
D'une étymologie grec "adamas" signifiant ses caractéristiques rebelles à la taille il doit son nom illustrant la grande difficulté que redoute beaucoup de tailleurs diamantaires d'une "indomptable" gemme.
En effet le diamant ne peut être taillé et poli que par lui même, et à l'état brut, ce minéral se présente souvent en forme de cube ou d’octaèdre, au couleur incolore à jaune, vert, rouge, rose, noir. Adamantin il semble à l'état brut avoir des caractéristiques brillantes.
Ce carbone pure dont la formation reste dans des secteurs miniers à haute pression et haute température, au sein de roches métamorphiques et impactites, les gemmes prétendant à une taille pour la joaillerie sont surtout trouvé dans les roches magmatiques, kimberlitiques, et lamproitiques, au sein de cheminées.
Actuellement les plus gros gisements de par le monde restent sans aucun doute ceux d'Australie, en Sibérie, au Zaïre, l'Angola, le centre Afrique reste un secteur déterminant de gisement Diamantifère, en Namibie dont le direction du groupe Flinch était jusque là le principal concurrent de la De Beers basé sur le Cap de bonne espérance qui permit de découvrir les plus beaux diamants du monde sur "la mine Premier".
La synthèse du diamant est depuis devenu dans les années 50-60 l’obsession des laboratoires et des chercheurs permettant en industrie de cloné des gemmes de grandes qualités, aux duretés plus importante que la nature le fais habituellement, mais la taille des gemmes restent cependant bien en deçà de celles obtenues sur les gisements naturelles, de plus la production en industrie par des moyens important, de pressions et de hautes températures restent un soucis majeurs et d'une rentabilité assurant les coûts de fabrication élevé.
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